Je peux compter sur les doigts d’une main le nombre de fois où j’ai pris des antibiotiques, dont trois pour traiter une IVU. Ma première IVU a été une véritable déception à cet égard.

J’ai la chance d’être en bonne santé jusqu’à présent. Lorsque je vais chez le médecin, je peux répondre « non, non, non » à la panoplie habituelle de questions. Des antécédents de cancer dans la famille, des crises cardiaques, la prise de médicaments ? Non.

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Lorsque j’ai eu ma première IVU au début de la vingtaine, je n’avais vraiment aucune idée de ce qui se passait. J’ai soudain été prise d’un malaise et d’une douleur incroyables et j’étais complètement hors de moi. Je ne m’étais jamais sentie aussi mal à l’aise dans mon propre corps.

« Avec le recul, je m’étonne un peu que l’on ne nous donne pas plus d’informations sur quelque chose d’aussi courant que les IVU. »

Je veux dire que 50 % des femmes auront une IVU au cours de leur vie, mais je ne me souviens pas d’avoir appris quoi que ce soit à ce sujet lors de l’éducation sexuelle, et lorsque j’ai eu ma première IVU, je n’étais certainement pas préparée.

C’était un dimanche, mais j’avais la chance d’habiter à proximité d’un cabinet médical ouvert après les heures de bureau. J’y suis allée directement et on m’a prescrit un traitement antibiotique pour les IVU, qui a permis de résoudre le problème assez rapidement.

Immédiatement après ma première IVU, j’ai fait quelques recherches en ligne. Je ne me suis pas sentie particulièrement éclairée et je n’ai certainement pas trouvé de réponses.

J’ai fini par me rendre à la pharmacie et par demander discrètement s’il existait un médicament en vente libre qui pourrait m’aider si je pensais qu’une autre IVU se préparait.

Je me souviens m’être sentie très gênée, essayant de chuchoter mes demandes au pharmacien et grimaçant lorsqu’il me répétait tout ce qu’il avait à me dire.

Finalement, je suis repartie avec des comprimés pétillants au goût de canneberge et des sachets de poudre qui se sont mélangés pour former un étrange breuvage pétillant, mais fade. Je ne savais pas vraiment comment ils étaient censés fonctionner, mais le pharmacien m’a dit que c’était la meilleure option disponible.

Ils sont restés sur une étagère à prendre la poussière jusqu’à ce que l’IVU suivante survienne quelques années plus tard.

Il existe de nombreux remèdes maison contre l’IVU que vous pourriez envisager, avec différents degrés de recherche scientifique à l’appui. Mon conseil ? Essayez d’en savoir le plus possible sur un produit avant de l’acheter.

Ensuite, c’est parti. Je crois que le tube de comprimés de canneberge pétillants recommandait d’en prendre un toutes les quatre heures. J’en ai pris quatre en une heure. Il est étonnant de voir à quelle vitesse vous ignorez les instructions de dosage lorsque vous souffrez autant.

Je sais maintenant que je ne suis pas la seule à avoir fait cela, nous avons entendu de nombreuses histoires d’autres personnes qui ont essayé absolument tout pour les IVU, souvent en devinant le dosage. Les temps désespérés appellent des mesures désespérées, n’est-ce pas ?

Je crois que j’ai même dissous les comprimés de canneberge dans du jus de canneberge pur, juste pour augmenter vraiment la dose, et je l’ai alterné avec des verres des mélanges bizarres en sachet.

« Aucun de mes remèdes n’a fonctionné. Il s’agissait d’une IVU tenace. »

Finalement, j’ai abandonné les remèdes et je me suis de nouveau rendue à la clinique de jour, serrant presque le médecin dans ses bras de soulagement lorsqu’il m’a remis une ordonnance pour des antibiotiques.

Je sais que j’ai de la chance de n’avoir eu que trois IVU au fil des ans, car elles sont terribles. Cela ne veut pas dire que je n’en aurai plus jamais.

Et plus je me plonge dans le monde obscur des IVU, plus je réalise à quel point elles sont fréquentes.

Les IVU sont trop souvent un sujet tabou. Bien sûr, vous pouvez en parler avec vos amis proches ou votre partenaire, mais cela ne va généralement pas plus loin. Il faut que cela change, car c’est un problème qui touche des millions de femmes.

Si vous discutez avec vos amis, vous constaterez qu’au moins quelques-uns d’entre eux ont des histoires à raconter, et que certains souffrent en silence depuis des années.

C’est exactement ce qui m’est arrivé lorsque je me suis impliquée dans ce projet.

« Chaque ami à qui j’ai parlé avait soit sa propre expérience des IVU récurrentes, soit connaissait quelqu’un qui en avait une. »

Bien que je ne souffre heureusement pas d’IVU récurrentes ou chroniques, j’ai eu l’occasion de constater la chance que j’ai eue jusqu’à présent.

Comme pour toute question de santé courante, il existe une pléthore d’informations en ligne. Beaucoup d’entre elles sont chargées d’émotion, intensément personnelles et, en fin de compte, inutiles.

Un remède contre l’IVU peut être efficace pour une personne, mais pas pour la suivante. Ou encore, il peut être efficace la première fois, mais pas la seconde.

Je me suis impliquée dans Live UTI Free parce que je pense qu’il n’y a jamais eu de meilleur moment pour faire connaître des problèmes de santé comme celui-ci.

De nombreux progrès et recherches passionnants sont en cours, en particulier dans le domaine de la santé féminine.

Notre accès à la technologie révolutionne l’espace. Les applications de suivi de la fertilité et du cycle, par exemple, nous permettent de comprendre et d’être à l’écoute de notre corps.

Si cet accès à la technologie est merveilleux, il signifie aussi qu’il y a une surabondance d’informations, qui ne sont pas toutes factuelles et éducatives.

« Les IVU vous font vous sentir très vulnérable, et mettre les mauvaises informations sous les yeux d’une personne vulnérable peut la conduire assez rapidement sur la mauvaise voie. »

Vous n’êtes pas seul

Lorsque j’ai eu ma première IVU, j’étais dans l’ignorance. Avec ce site, nous mettons en lumière les bonnes informations et nous contribuons à ouvrir le débat. Nous le faisons avec un produit attrayant, centré sur l’utilisateur. C’est un premier pas important.

Notre objectif est de donner aux personnes souffrant d’IVU récurrentes les moyens de comprendre le problème à un niveau plus profond et de tracer leur propre voie vers le traitement de l’IVU.

Et je crois vraiment que Live UTI Free est un excellent point de départ, en particulier pour ceux qui luttent depuis longtemps contre les infections urinaires récurrentes.

Il s’agit également d’une question plus générale. Comprendre le processus de traitement et finalement être en mesure de vivre sans IVU conduira inévitablement à une meilleure compréhension de ce qui vous fait vibrer, de ce qui vous rend sain et fort. Et cela ne peut être que bénéfique.

Nous sommes des êtres incroyablement complexes – et comprendre et connaître notre propre corps est une chose magnifique.

Pour obtenir des réponses aux questions les plus fréquemment posées sur les IVU chroniques et récurrentes, visitez notre page FAQ. Faites-nous part de vos questions et commentaires ci-dessous, ou contactez-nous pour nous raconter votre propre histoire.